A l’origine il s’agit d’une fête païenne ancrée dans la tradition nomade. Le nouvel an avait alors lieu en automne, avant que les troupeaux n’hivernent et que la production de lait diminue.
L’évènement pris une connotation bouddhiste après que Khubilaï décide de déplacer le nouvel an mongol en le faisant coïncider avec la première nouvelle lune du printemps c’est-à-dire en février.